Description
L’Ashuapmushuan est remplie de diamants. Ce sont les larmes des femmes autochtones, qui ont été jetées hors de la réserve. Elles ont pleuré près de la rivière. Les larmes ont coulé dans le torrent et sont devenues des diamants. On raconte que le jour où l’une d’entre elles plongera au fond de la rivière pour les rapporter, ce sera l’âge d’or des Autochtones.
À LA VENUE DES COQUECIGRUES est un recueil de poésie, mais aussi un récit, un conte. Les amours malsaines, qui naissent des contes de fées, d’un imaginaire trop fécond, empoisonnent les cœurs et les pensées de leurs victimes. L’une d’elles, passionnée de littérature et en quête d’un « je t’aime », se laisse envelopper par l’illusion d’un amour manipulateur et destructeur. Puis, la chute d’une utopie, descente dans ce qui deviendra son cauchemar de cent ans. Mais que faut-il pour s’en extirper?
C’est un conte.
Il était une fois, ou deux,
ou pas.Il était une fille, un cœur,
ou rien.Il était un amour, désenchanté,
un trou noir.
UNE SORCIÈRE PARMI LES FELQUISTES. JOURNAL DE LA CRISE D’OCTOBRE raconte les événements de la Crise d’Octobre, l’exil et l’emprisonnement de l’ex-felquiste Louise Lanctôt, une des protagonistes de la Crise d’Octobre 1970.
Pourquoi une jeune femme déciderait-elle de s’embarquer dans un mouvement révolutionnaire, dans un boy’s club? Dans ce récit, elle nous confie ses illusions perdues, son militantisme, sa lutte involontairement féministe pour s’imposer comme seule femme parmi des hommes.
Son regard de femme présente une nouvelle perspective de la Crise d’Octobre 1970.
Et j’ai un choc en voyant cet homme qui sort de l’auto-taxi et que l’on camoufle au pied des sièges arrière pour le transporter au duplex de la rue des Récollets. La réalité vient de me rattraper. Ce n’est plus une idée abstraite, un concept, mais bien un fait réel, concret. Une personne qui bouge, qui parle, qui a sans doute très peur. On ne peut plus reculer.
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